Les partenaires

Découvrez les partenaires de la fondation Marius Lavet

Institut Bauhaus

L’Institut Bauhaus des Transitions – Management de l’inconnu et Sciences de Gestion Conceptive de Mines Paris-PSL vise à développer un de ces Bauhaus du XXIè siècle pour les cadres, dirigeants, scientifiques et fonctionnaires qui inventent aujourd’hui une gestion plus conceptive face aux défis et aux risques contemporains. Ce Bauhaus des Transitions veut être le laboratoire d’une école du management de l’inconnu que plusieurs acteurs socioéconomiques appellent de leurs voeux.

L’ingénieur-inventeur est un acteur majeur du management de transitions, c’est la raison pour laquelle le partenariat avec Marius Lavet, ingénieur et inventeur est une évidence.

Les trois composantes du Bauhaus des transistions : Formation, Recherche, Studio pour la gestion des inconnus des transitions.

  • Recherche fondamentale avec un programme décliné en 5 axes principaux : Théorie des patrimoines de création ; Science et conception ; Management conceptif ; RH-cognition-leadership-éducation et inconnu ; Institutions et politiques pour l’inconnu.
  • Recherche-formation avec des actions visant à développer les compétences managériales des cadres, scientifiques et dirigeants à gérer dans l’inconnu, i.e. organiser la conception de décisions dans tous les domaines des transitions contemporaines. Les compétences sont acquises dans l’action, sur des sujets de transitions et de crises. Elles conduisent à développer une doctrine de formation et des méthodes originales, qui ont vocation à être développées par des organismes professionnels qui alimenteront l’école du management dans l’inconnu.
  • Recherche-utopie avec un ‘Studio’ pour explorer collectivement les utopies du management pour les transitions, rassemblant de multiples partenaires (entreprises, institutions…) et un lieu d’invitation de chercheurs français et étrangers.

Publication de l'Instut Bauhaus

CentraleSupelec

L’École supérieure d’électricité a été fondée en 1894 par la Société internationale des électriciens, actuellement Société des électriciens et des électroniciens (SEE). Il s’agissait alors de former les ingénieurs pour l’industrie électrique en plein développement. Elle ne devient l’Association Supélec qu’en 1987.

L’École centrale Paris et Supélec ont signé en 2006 un accord-cadre et mis en place, en novembre 2008, une « alliance stratégique » qui a pour objectif une meilleure compétitivité internationale des deux écoles.


Les directeurs de Centrale et de Supélec ont annoncé en 2011 la création d’une marque et d’un logo communs. Ils ont également annoncé la création d’une association de préfiguration, chargée du rapprochement des deux écoles, sous un nouveau statut. Jean-Claude Lehmann et Alain Bravo, membres du bureau de Marius Lavet Ingénieur et inventeur, ont été les acteurs majeurs de ce rapprochement.

Marius Lavet était diplômé de l’École supérieure d’électricité et des Arts et Métiers, et Supélec a été présent dans la création du Prix Marius Lavet dès son origine, avec le soutien sans faille d’Alain Bravo qui dirigeait l’Ecole lors du lancement du Prix, avant de fonder l’Académie des Technologies, en restant un pilier du Prix Marius Lavet, ingénieur et inventeur jusqu’en 2023.

Publication de CentraleSupelec

IESF

Au moment où la révolution gronde dans Paris, les ingénieurs français décident de se regrouper en créant le 4 mars 1848, la Société Centrale des Ingénieurs Civils, présidée par Eugène Flachat, créateur des premières lignes françaises de chemin de fer.

Devenue Société des Ingénieurs Civils de France (ICF) puis CNISF avant de devenir IESF par décret du 19 mars 1992, l’association est reconnue d’utilité publique le 22 décembre 1860 par décret de Napoléon III, Empereur des Français.
IESF est l’héritier d’une association reconnue d’utilité publique depuis le 22 décembre 1860 Dans sa plaquette, IESF se présente comme le représentant du corps social des 10500 000 ingénieurs et scientifiques reconnus par leur diplômes ou leurs fonctions.

Lors de la création de la Fondation Marius Lavet, François de Laage de Meux, alors président du CNISF, a épaulé Pierre BREESE, exécuteur testamentaire de Marius Lavet, pour aider à donner toute sa dimension à la volonté de mettre en lumière les ingénieurs-inventeurs français grâce au leg de Marius Lavet.

Publication de IESF

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Fondation Arts et Métiers

La Fondation a été créée en 1977 et est reconnue d’utilité publique par décret du 13 septembre 1978. Elle a pour objet de faciliter l’accès à la culture scientifique et technologique, favoriser la recherche et l’enseignement en ces domaines, promouvoir l’action de l’ingénieur dans les activités économiques et contribuer au travail de mémoire des techniques et industries.

La Fondation Arts et Métiers a son siège à Paris et possède un établissement dédié à l’histoire et à la diffusion des sciences et technologies à Liancourt, dans l’Oise, lieu où fut fondée l’École d’Arts et Métiers par le Duc de La Rochefoucauld-Liancourt en 1780.
Elle a participé à la création de la Fondation et du Prix Marius Lavet, ingénieur et inventeur, pour contribuer au rayonnement d’un de ces grands anciens, Marius Lavet.

Publication de la Fondation Arts et Métiers

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Pierre Breesé, exécuteur testamentaire de Marius Lavet

Pierre Breesé, ingénieur brevet, dirigeait le cabinet de  Louis-Napoléon Chereau, en charge de la protection et de la valorisation des inventions de Marius Lavet. 

Convaincu de l’utilité sociale de l’innovation et des brevets, il a été chargé en qualité d’exécuteur testamentaire de créer l’organisation propre à répondre à la volonté testamentaire de Marius Lavet de contribuer à une meilleure reconnaissance des ingénieurs français ayant fait preuve d’activité inventive.

Pierre Breesé conseille de nombreuses entreprises et porteurs de projets innovants. Il préside le conseil d’administration de la Moving Magnet Technologies, société développent des solutions mécatroniques exploitées sous licence dans le domaine automobile (150.000.000 de composants produits sous licence chaque année, pas une voiture dans le monde qui ne soit équipée d’au moins un capteur ou actionneur sous licence MMT).Il enseigne aussi le droit de l’Innovation à Sciences Po Paris et dans plusieurs écoles d’ingénieurs, et préside le comité Innovation et recherche des Ingénieurs et scientifiques de France.